Aujourd’hui, il existe plusieurs thérapies qui visent à soulager les personnes handicapées ou malades. Ainsi, l’une des techniques les plus populaires est la zoothérapie. Elle consiste à faire appel à l’animal pour aider les patients souffrants de tous âges. Que faut-il savoir sur la zoothérapie ? Zoom dans cet article.
La zoothérapie : c’est quoi ?
La zoothérapie consiste à faire appel aux animaux dans le but de guérir les maux de patients de toutes sortes. En étant compréhensif, calme et ne portant aucun jugement, l’animal amène bien-être. Avec la compagnie d’un chiot par exemple, vous pouvez suivre une thérapie et être confiant. Il faut noter que des séances peuvent être organisées dans l’environnement de l’animal, à domicile, ou parfois dans des résidences service seniors. Il est important de savoir que le but premier de la thérapie n’est pas de soigner directement le patient.
C’est d’abord important de créer une relation unique entre l’animal et le patient. Cette relation avec le chiot si c’est votre animal de compagnie, permet de stimuler le patient, que ce soit d’un point de vue mental ou physique. L’objectif de la zoothérapie est d’améliorer la santé des personnes souffrant de divers troubles. Toutefois, il est important de savoir que la zoothérapie est différente des activités assistées par l’animal qui sont destinées à éduquer, motiver ou divertir des personnes.
Contrairement à la zoothérapie, les activités assistées par l’animal pratiquées dans divers contextes n’ont pas une visée spécifiquement thérapeutique. Toutefois, elles sont bénéfiques pour la santé de l’homme. Qu’il s’agisse de zoothérapie ou d’activités assistées par l’animal, ce dernier est aussi chouchouté par les équipes médicales qui veillent à sa bonne santé. Les activités assistées peuvent ainsi consister à le nourrir ou administrer son vermifuge à un chiot par exemple.
Les bienfaits de la zoothérapie
La zoothérapie a beaucoup de bienfaits sur la santé de l’homme souffrant. Elle contribue par exemple à favoriser l’interaction des participants entre eux, améliorer la qualité de vie de la personne hospitalisée, soulager le stress, favoriser la relaxation, diminuer la tension artérielle causée par le stress en caressant un chiot par exemple.
Elle permet aussi de contribuer au bien-être des personnes qui souffrent de schizophrénie, améliorer aussi la qualité de vie des personnes qui souffrent de la démence, diminuer la peur et la douleur lors de procédures médicales, augmenter l’estime de soi tout en comblant une part des besoins psychologiques et émotionnels. En définitive, la présence d’un chiot par exemple a un effet catalyseur qui contribue à modifier le comportement d’un individu souffrant.